"Au-delà Shoah" - À travers l'étude de différents textes bibliques, une réflexion originale et actuelle sur notre époque et le devenir de l'homme


18 février 2019

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RÉSUMÉ

« Cette génération ne passera point que toutes ces choses ne soient arrivées » – Matthieu (24:34)

Cette génération, c’est celle de la Shoah, cette situation c’est une grande purge, un renouveau pour débarrasser l’humanité du Mal qui la ronge. Terrorisme ? Réchauffement climatique ? Tous les signes sont là, tels qu’annoncés clairement dans les textes bibliques pour qui sait les décrypter. Et c’est d’Israël la répudiée, d’Israël qui sera glorifiée à nouveau, que viendra la lumière du salut. L’homme est fou, la planète se meurt, mais le Dieu vivant, Père de toute chose, veille ; bientôt, très bientôt, il descendra sur Terre…

Dans cette démonstration convaincante reposant sur de solides connaissances aussi bien théologiques qu’historiques et sociales, Joseph Vedyahr propose une lecture originale et actuelle de la Bible dont se dégage un puissant espoir en l’homme et en l’avenir.



L'AUTEUR

Architecte, père de famille et apprenti philosophe sur les bancs de la Sorbonne, Joseph Vedyahr est un amoureux de la vie qu’il sait conduite par cet ami, ce Dieu humble et magnifique qu’il recherche en tous ceux qu’il rencontre et à qui il s’adresse en toutes circonstances. C’est pour transmettre Son message qu’il prend la plume et rédige "Au-delà Shoah", son premier ouvrage.



EXTRAIT

La position des non-croyants est désormais empreinte de suspicion à l’endroit du religieux. Les actuelles dérives de l’islam radical, qui font suite à celles plus anciennes du catholicisme, n’ont rien fait pour apaiser les esprits. Le rejet des religions qui se nourrit de ces extrêmes a abouti à la remise en question de la quasi-totalité du spirituel, voire de l’invisible, comme en général de tout ce qui n’est pas expliqué par la science. Le paranormal – lequel ne repose pourtant sur aucune croyance mais sur l’observation seule – est, par amalgame, suspecté d’archaïsme religieux.

Le visible ne révèle pourtant que très peu de choses sur la complexité de la Création et sur la question de l’humain. Il ne dit rien des origines ni de la finalité de la vie, et encore moins de la conscience d’être qui nous place au sommet du vivant. Or, que serions-nous sans conscience d’être ? Des légumes ou des robots biologiques sans sentiments.